Les travaux d'aménagement
  

Dès l'année précédente (1995), d'importants travaux de terrassements avaient été entrepris :

• pour modifier l'accès à La Cour,
• pour créer une butte de protection vis-à-vis de la route et de l'exploitation agricole proche,
• pour modifier les niveaux des sols sur les façades arrières des bâtiments (pour pouvoir ultérieurement ouvrir des baies permettant des accès directs),
• pour séparer les réseaux d'alimentation en eau de La Cour de Kerbernard et du Valli de Kerbernard,
• pour enterrer les réseaux d'alimentation en eau, d'électricité et de télécommunication,
• pour évacuer vers les cours d'eau en aval les eaux de pluies recueillies sur la propriété (300 mètres de canalisations !).

L'année suivante, la charpente et la couverture du bâtiment Calvé ont été refaites.

Ensuite, il a fallu étayer l'intérieur d'une partie du bâtiment Le Tresle sur deux étages pour éviter l'effondrement des murs et des planchers.

Un escalier provisoire a été construit dans la tour d'escalier (ou plutôt, dans la demie tour subsistante), pour donner accès à l'étage.

Divers travaux (récurrents) sont en cours : rejointoiement, peinture des menuiseries, électricité intérieure, etc.

Enfin, d'importants travaux ont été réalisés fin 2003 et début 2004, visant à mettre aux normes '2005' l'assainissement autonome de la propriété (remplacement des fosses septiques existantes par des fosses toutes eaux, avec filtre à sable et évacuation vers le milieu naturel des eaux épurées).
A cette occasion, le niveau des sols de la cour a été adapté pour créer deux cours distinctes.

Le mur formant soutènement doit être habillé de pierres (en attendant, il le sera de végétation), et il faut "meubler" les cours avec quelques plantations.

A la Toussaint 2004, une allée a été tracée pour commencer à structurer le parc, et plus de 140 charmes ont été plantés de part et d'autre.

La prochaine étape consiste en la démolition du hangar agricole (permis de démolir obtenu le 18 juin 2004) subsistant de l'ancienne affectation en ferme, puis à planter toute la zone rendue disponible (après évacuation des mètres cubes de cailloux amenés au cours des trente dernières années pour stabiliser les sols !).

Le projet global d'aménagement extérieur est restituer une organisation territoriale proche de ce qui figure sur le cadastre de 1820 :

• Fermeture de la cour intérieure par un mur (de faible hauteur) ;
• Création d'un jardin découpé en "carrés"

De plus, l'idée directrice est d'offrir, pour chacune des maisons, une entrée principale sur la cour intérieure et des ouvertures sur des jardins isolés en façade postérieure. L'objectif est en partie atteint pour le bâtiment du nord (le jardin est maintenant pratiquement clos par des plantations offrant une intimité suffisante en été).

(page en cours de mise au point)

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